Chapitre 120

On observe

Mais le réel est péremptoire

et la vie semble sans espoir.

Lorsqu’enfin tout semble aller mieux

on voit le monde dans nos yeux.

C’est presque une ironie tragique, quelle drôle d’histoire. On remarque soudainement le nombre d’objets en plastiques que l’on utilise. Un peu comme si ce matériau avait envahi le quotidien pour s’y faire une place inaliénable.

Et si vous poursuivez un peu votre lecture en abordant un autre des nombreux enjeux écologiques ?